Sur la base ST 84

Pourquoi je poste pas à la suite d'Ethan : 1 je ne pense pas que nos personnages se soit rencontrer
2 la vie d'un stormtrooper est si passionnante que je doute qu'il est le temps de tailler une bavette avec un manutentionnaire.


Comme tout les matins depuis bientôt deux mois, James se tire péniblement de son lit, pour prendre ses fonction dans la base. Il passe le poste de garde, montre son joli badge magnétique certifiant que c'est maintenant un membre agréé de l'équipe de technicien de surface. La jolie blouse bleu électrique, et la casquette au sigle de l'Empire prouve son appartenance au corps d'élite des éboueux de service. Sa paire de gants jaunes attaché à la ceinture et son communicateur dans la blouse, il franchit le torse bombé, la tête haute, le poste de garde. Les blagues récurrentes fusent

"Allo Bob, Bob, on signale une invasion dans le secteur XP 44... ils sont nombreux faite vite. Aaargh tué par des cafards." Les clampins de service, des clônes rigolent, James se forcent à en rire aussi, mais l'humour de clône c'est clairement pas son truc, ça lui donne presqu'envis d'intégrer la Rebellion, tellement c'est cons un clône. Et ca fait deux mois que ça dure, ça doit être ça la guerre psychologique, tester la patience des sujets pour voir combien de temps ils résistent à la bêtise.

James, pardon E.T.R.O.N. 34, de l'humour de clône gradé sans doute, doit ensuite se rendre au poste de commandement pour y recevoir ces instructions pour la journée : WC du secteur XP 42, passer la machine au secteur XP 55, pas la porte à côté, conduire le speeder décheterie àau crématorium, et passer au réfectoire nettoyer la merde laissée par les soldats du Glorieux Empire Galactique. Bien sûr, il y les droïds, mais certain secteur ont une telle densité électro magnétique que les droïds grillent d'emblée. Alors ils ont trouvés les humains et les combinaisons anti radiation pour faire le boulot.

Aujoud'hui il a vu un vaisseau attérir sur le tarmac de la base, le malheureux guss a été extrait de so nappareil et traîné vers les niveaux inférieurs, ceux auxquels seuls les droïds peuvent espérer entrer. Impossible de savoir ce qu'il est devenu.

[Merci pour le plan Ethan]

James n'était pas arrivée seul sur les lieux, ils avaient dû emprunter un transport collectif, enfin pour être exact, se faire recruter comme manoeuvre au sein d'une grande compagnie de matériaux, laquelle firme avait presque un contrat d'exclusivité avec l'Empire. C'est ainsi qu'il avait put pénétrer l'espace aérien de ce monde austère. Une fois sur place, ils demandèrent du boulot sur la base, et le fret étant important, ils furent recrutés, les stormtroopers n'étant pas là pour cervir de dockers, ou alors c'était occasionnel, ils faisaient tout à la fois le ménage dans les endroits ou l'électromagnétisme était trop important pour les circuits des droïds, ce qui donnait aussi à James une idée de ce qu'il ya avait derrière les salles qu'il nettoyait et d'autre part, il déchargeait les conteneurs, dont l'importance stratégique n'était pas sensible.

Ada et lui se parlaient entre deux poses, ils avaient planqués du matériels (blasters, vestes de protection et communicateurs) sous une dalle de leur local d'entretien, laquelle dalle se trouvait sous le placard métallique d'un de leur collègue : on est jamais assez prudent.

C'était l'heure du repas, et justement, il prenait, gain de place, leurs repas en même temps que les clônes, mais eux ne mangeaient pas la même tambouille. Il restait à Morti quelques papilles gustatives, et le vague porridge informe que s'avalait les clônes lui donnait de violentes remontées gastriques. Aujourd'hui, i létait de corvée de chiotte avec E.T.R.O.N 64, et ça commençait dans une demi heure, pas le temps de partager ses impressions avec Ada, qui de toute façon ne lui parlait pas, ou alors s'était pour le tancer vertement sur ces choix débiles et immatures. Autant dire qu'il valait mieux resté seul.

Lorsqu'il se pointe dans les toilettes, premier constat, il allait pas falloir se planter, ceux qu'il devait nettoyer c'était par terre pas la byzarrerie qui se trouvait devant lui et dont le faciès ressemblait à s'y méprendre à ce qu'il y avait dans la cuvette des water. Y a en a vraiment qu'on la gueule de l'emploi. Il se félicitait de n'avoir jamais fraternisé et mangé à côté de ce guss. Second constat, c'était pas un gars mais une nana... Et visiblement elle lui faisait des avances. Il allait devoir la jouer diplomatique pouvait pas ignorer le ton brutal qu'elle employait pour l'accoster, c'était plus de l'éperonnage qu'autre chose.

ETRON 64 : "T'es mignon ETRON 34, tu me plais, ca te dirais qu'on fasse l'amour après notre service."

ETRON 34(James) : "Non..."

Il pouvait pas être plus diplomate. A ce moment deux soldats de l'empire râdinent leurs truffes dan les environs, et Morti en profitte pour s'échapper, il allait devoir aussi éviter ETRON 64 à l'avenir. Mais la cuvette N°25, ne marchait pas et l'équipement électronique tombait fréquemment en panne. Il allait devoir y jeter un coup d'oeil, et cela dès cette nuit, enfin à son prochain tour.

Il note mentalement ça dans un coin de sa cervelle, dessous, il ya aurait peut être un appareillage complexe, donc possibilité d'entrée, mais faudrait dessouder la plaque, et surtout rendre les vespasiennes inaptent à la consultation. James repart vers les hangars, il comptent le nombres de postes de garde tout en poussant sa machine à pulvérisation d'air à haute pression. Un sorte d'appareillage qui décrasse en concentrant un puisssant jet d'air, décollant la poussière du sol pendant qu'un système d'aspiration sur les côté récupère les saletés. C'est lourd, moche, et volumineux. Morti se rapproche des secteurs normalement réservés à la garnison, ses secteurs calssés secret défense.

La casquette vicée sur la tête il fait route vers la base 84-YT-7. Un sergent l'interpelle, il prend un air vaguement hagard et regarde le garde répété en boucle son message.

YT 1972 - Toi là. Ton accréditation pour pénétrer dans le complexe

Morti lui tend son badge magnétique, avant de poursuivre

-Problème de maintenance dans la zone réfectoire au niveau du bloc sanitaire. Bouchon thermocompressé que l'évacuation centrale ne parvient pas a décoincée. C'est la troisième fois cette semaine que ça arrive, on a eu des plaintes relatives à ce qu'on fait mal notre boulot. Alors si je parviens à enlever ce caillot de merde nitraté, dans vos canalisations j'pense résoudre le problème globalement, et pas redémonter pour la quatrième fois le bloc sanitaire ST34 au dessus.

Il regarde le badge et écoute avec attention les propos du civil. Il le dévisage et répond:
"- Vous n'êtes pas accrédité pour pénétrer dans ce secteur. Votre zone d'accès est incorrecte. La zone réfectoire se situe deux bâtiments plus loin, sur votre droite."

Il rend le badge à l'agent d'entretien et lui dit :
"- Veuillez ne pas stationner ici."

Quelques minutes plus tard, le reste de la patrouille le rejoint.

Une anomalie ? lui demande son chef de patrouille.

"- Oui." répond YT-1972.
"- Ce civil est égaré. Il doit rejoindre une zone accréditée."

Le chef de patrouille se dirige alors vers l'homme avec la casquette et inspecte son badge magnétique.

Votre accréditation n'est pas valide sur ce secteur. Veuillez rejoindre une zone autorisée. Circulez.

James reprit sans se faire prier sa carte.

"Comme vous voulez, moi ce que j'en dis, si vous voulez baigner dans la merde ça vous regarde"

Il fait demi tour avec sa machine, et repart au bloc sanitaire défaillant, enfin deux blocs après. Il défait la conduite et s'arrange pour que les vespasiennes de la base secrète subissent un léger désagrément. Pourrons pas dire qu'ils ont pas été informés.

Puis il repart faire une sieste réparatrice dans la zone dévolue au petit personnel d'entretien.

YT-1972 regarda le civil s'éloigner. Etrangement, il s'était sentit apaisé par ce contact avec un individu différent de ceux de sa caste. Son mal de tête s'était dissipé. Il se sentait mieux.

le com du chef de patrouille résonna soudain:
Patrouille 56. Au poste de commandement.

Le sergent répondit :
Reçu. Nous arrivons.

Le militaire regarda ses subordonnés:
En route.

Tous se mirent en formation et le suivirent jusqu'au poste de commandement du centre de recherches. Le mal de tête revenait lentement...

Après sa petite sieste revigorante, James décide de mettre ses projets à exécution. Il se rend aux latrines, trouve le défectueuse, dévisse le conduit, et aboutit à une sorte de petit tunnel de taules aluminées, qui donne accès à une vaste cuve de compression et de résorption des déchets par hydrolyse chimique, autrement dit, vaut mieux pas traîner dedans . Par chance, le conduit est un conduit de maintenance, il sert aux techniciens et relie la climatisation, la ventilation, l'arrivée d'eau etc... Il revient, place un panneau en dérangement, referme la plaque et progresse. Au bout de 10 mètres de progression de plus en plus difficile, il débouche sur un T, il sort sa boussole, la base secrète est plein Est, il emprunte donc le chemin, descend progressivement et se retrouve devant un autre T, l'un remonte l'autre s'enfonce un peu plus encore sous terre. Il entend alors des voix, celle du garde de faction à l'entrée.

Je te redonne la main, j'aime pas écrire seul...

[HJ : je te comprends ! En tout cas c'est très bien, continuez ! On va essayer d'arriver le plus vite possible, mais si vous suivez notre progression, on est encore assez loin, dsl.]

C'est midi, il est temps d'aller manger, James, a fait le tour des opportunités qui se présentait à lui. Une entrée par les conduits de survie de la base, et un croiseur interstellaire gravitant autour de la planète c'est maigre. Dans ces conditions inutiles de prendre des risques supplémentaires. Il va faire son boulot, rien que son boulot. En attendant que le destroyeur quitte l'espace aérien, enfin spatial de la planète.

Il attend Ada, laquelle comme à son accoutumée est en retard et manque de bol il voit rappliqué ETRON 64, cette dernière se dirige franco vers lui. James fait ni une ni deux, il se retourne et se dirige à grande enjambée vers la cantine. Prend un plateau, et se fait le plus rapidement servir. Il repère une table ou il reste une place assise, s'y assoit. Pique du nez dans sa gamelle, la relève après qu'ETRON 64 soit passée, Ada le regarde amusée. Il plisse le museau, et reporte son attention sur ses voisins de table :

KIOR Fantrezl, un weequay, dont la tête est mise à prix dans 4 systèmes. Dangereux psychopate, inculpés pour meurtres et coup et blessures volontaires.
Les frères GRAMBOUILLE, Sigor et Silvan, un casier judiciaire élogieux, pourchassé dans 6 systèmes
IMMOND Cruy, un aqualish, sur lui il ne connaît rien, mais à la mine, il doit bien traîné u npapier avec un chiffre dessous.
FRELL Gaillard, un colosse de 2 mètres de haut, humain, sur Tatooine, et c'est le seul qu'il connaît, il était gladiateur. Sa spécialité la prise de l'ours, il prenait ses adversaire par la gorge et les étranglait ainsi. Il n'est pas recherché mais ne va pas tardé à avoir son portrait sur holonet avec une demande de rançon portant la mention Dead or alive.

Frell le détaille, enfin il le remet.

"Mortimer !!!! Alors comment marche les affaires, mal je suppose, pour que tu te retrouves comme nous à purger les chiottes de l'Empire. Ah ah ah."

C'était le grain de sable dans la machine.

Le trajet depuis l'astroport fut sujet à rigolades et à plaisanteries dont YT-1972 était la cible.

Après avoir prit un plateau sur lequel étaient jetées quelques victuailles, YT-1972 partit s'installer à une table avec ses compagnons. Il était absent des discussions qui se tenaient, plongé dans ses pensées. L'image de la jeune étrangère (elle s'appelait Dora) le hantait. Il avait été captivé par la beauté mystérieuse de la jeune femme. Une sorte d'envoûtement pour ce visage inconnu, mais qui, curieusement, ne lui semblait pas étranger.

YT-1972 parcourait la salle des yeux. A la table voisine se tenaient un groupe d'agents de service. Parmi eux, il reconnu l'homme avec qui il avait eu maille à partir plus tôt dans la journée. YT-1972 le regardait. Le comportement de l'homme l'intriguait.
Tout comme lui, l'individu semblait ne pas être à sa place ici. Son comportement en disait long sur son malaise. Il avait le regard vigilant, scrutant les alentours. Lui non plus ne semblait vouloir participer aux discussions que ses collègues semblaient vouloir mener avec lui.

YT-1972 se sentit soudain proche de cet homme. Une étrange sensation d'être décalé par rapport à la réalité l'envahit. En temps normal, n'importe quel clone aurait été interpellé par un comportement anormal. Pas lui. Il se sentait....différent. Oui, différent. Chaque minute écoulée, chaque instant de plus passé sur cette base renforçait en lui sa conviction d'être....différent. Différent. Différent. Sa conscience personnelle faisait peu à peu surface. Il ne savait expliquer les bouleversements qui se passaient en lui.
La vue de l'homme, assit à la table voisine, le troublait. Il avait envie de nouer un lien avec lui. Mais il ne pouvait pas. Sa condition de clone empêchait toute sorte de lien particulier avec un...étranger.
Sa somnolence fut soudain troublée par une remarque de l'un de ses collègue :

Alors, YT-1972. On rêve ? Eclat de rire général.
Tu es vraiment bizarre, toi ! Nouvel éclat de rire.
Tu es sûr que tes circuits ont été correctement branchés ? Hilarité totale.

YT-1972 ne répondit pas tout de suite. Il était...gêné. Gêné qu'un clone standard ait pu faire intrusion dans son espace psychique. Il pensa : Oui, je rêve. Non, je ne suis pas bizarre. Mes circuits ? Quels circuits ?

Il haussa les épaules et dit :
"- Tu ne peux pas comprendre ! Nous... nous ne sommes pas faits...pareils."

Après un instant de stupeur, son compagnon renchérit :
Ah, ça ! C'est sûr ! Nouveau fou rire.
Venez, clones ! Laissons ce...droïd dégénéré ici. Partons. Sur ces paroles, ses camarades se levèrent et quittèrent la salle.

Il se retrouvait seul, installé à sa table.
Discrètement, il sortit la photo de son armure. Il la prit dans le creux de sa main et contempla de nouveau les traits délicieusement dessinés de la belle étrangère. Il passa délicatement ses doigts sur le visage en deux dimensions de la belle et en parcoura les contours. Il murmura :
"- Dora."

Morti finit son affaire promptement, prend sa serviette en papier et s'essuit les lèvres, avant de lâcher un petit rôt discret.

"Faut croire, en effet Frell, que j'ai eu autant de chance que toi. Je dois reprendre le boulot"

l'Aqualiish l'interrompt :

"Et minute peau rose, notre compagnie te plaît pas."

James, se retourne, jamais montrer son appréhension en situation de crise et toujours prendre les devant que ce soit dans une conversation qui tourne mal comme dans une bagarre. Celui qui tire le prmier à toujours raison, l'histoire se poursuit pour lui, c'est pas le cas pour l'autre. Le chasseur de prime, pose lentement l'assiette sur la table, il ne reste que son plateau.

"Effectivement, gueule de tapas, j'ai pas demandé une bouillabesse au menu". Il s'apprête à projetter le plateau vers l'aqualiish, son bras est retenu par Frell.

C'est bon Morti, Immond, va fermer ses branchies. Morti n'est pas dugenre patient, alors Cruy si tu veux pas servir de sushi au prochain repas, modère tes propos. Faut qu'on cause. "

Jetant un regard éloquent au soldat impérial présent.

"Plus tard"

Morti en signe d'acquiesement grogne, remet ses affaires dans le plateau, et surprend le garde fixant une photos. Il le regarde, un sourcil arqué vers le haut. Le petit gars semblait en pincé pour une nana, o uavoir des émotions, attitude étrange pour un clône, il s'est fait appelé droïd par ses camarades, et semble être mis à l'épreuve par les autres. Soit c'est une recrue, mais surles projet sensible, ça paraît peu probable, trop instable. une alternative interressante pour infiltrer la base, reste à deviner l'angle d'approche

Mais pour l'heure Morti avait d'autre chat à fouetter, que les états d'âmes d'un guerrier clône. Il se rend à son poste, deux heures passent et Frell ne tarde pas à le rejoindre. Morti lui indique d'un bref coup d'oeil la caméra au dessus de la section qu'il venait de déblayer.

Ils sortent, Morti, se crâme une cloppe,

"Alors Frell quel est le programme, toi et tes copains, vous êtes pas là de votre plein grès, l'EMpire vous à coller aux travaux forcé. Et tu te dis qu'au vue de mon passé, j'ai sûrement un plan pour me tirer de là. A moins que ça soi toi qui es fait travailler tes méninges."

La dernière lueur ironique de son histoire était passé très largement au dessus du front de Frell. Il le regarde, une vague notion d'ébahissement dans les yeux.

"T'as pas tord, Morti, je savais que t'étais le gars à contacter. Les copains et moi on a une petite idée, mais on est pas d'accord sur les détails."

James le regarde avec son air futé.

"En gros tiu sais comment quitté la base, mais pas le caillou sur lequel elle repose, c'est ça."

Frell, interloqué se contente d'un vague

"Ouai"

"Ca marche pour moi, mais je veux pas face de poulpe, c'est un agent infiltré des impériaux, pour vous filer le train. Ca se voit comme le nez au milieu de la figure, i la pas de pedigre comme les autres, et il tente trop de surjouer les caïds. Mais avant de le lourder, j'voudrais qu'il réponde à deux trois petites questions. Tu crois que tu peux m'arranger un entretiens privé avec ton bonhomme. " Morti se caresse le bas du visage , sa barbe naissante.

"Y aura moyen après ça de te faire quitter cette fosse septique de l'Empire, à toi et à tes petits camarades nominés aux oscars du malfrat le moins côté... Mais cassons nous, on vient."

HRJ, ok Ethan, je poursuis donc

Le reste de la journée passe à un rythme lénifiant, les tâches répétitives, décharger, charger, déplacer et replacer des caisses sur un speeder. La collation du soir approche, et Morti réoccupe la place qu'il avait au sein de la petite communauté de despérados. Surprise, tête de poulpe est visiblement absent. James se garde bien de faire une remarque, il attend que ses camarades lancent le sujet.

Frell s'en ocupe avec son habituelle diplomatie :

"Ce soir, dans le bloc dortoir C, chambre 350, elle est inoccupée. Tu as ta commande."

Morti dans le style qui le caractérise, laconique :

"Ok, dans une heure"

Avant de se rendre à son rendez vous, Morti explore le bloc C, manière de ne pas avoir de trop mauvaise surprise sais t'on jamais, il se rend au sanitaire, vérifie la configuratio nde ces dernier. La dernière toilette offre le même accès que celle menant à la base impériale, elle est relié au autre pense t'il. L'heure passe, et Morti se présente à la porte 350, Ada couvre ses arrières et lui même porte un blaster sous sa tunique. Ada ne s'est pas fait remarquée. L'un des deux jumeaux l'attend, un grognement indique que Morti est en retard, il ouvre la porte Par réflexe, Morti, yeut avant de pénétrer à l'intérieur. Méfiant il poursuit :

"Ou est Frell ?"

L'autre mal à laise

"Frell, il a pas put venir, de corvée."

James sui réponds, ironique, il est de biais, sa main s'est déjà emparer du blaster.

"Y a pas de corvée le soir"

Deux tirs de Blasters, lui indique que les choses rtournent pas rond du côté d'Ada, il se pose pas de question, il sulfate le gars àa bout portant. La gars s'effondre, à l'intérieur le Squalish est présent, il se tourne, et mae montre u ncommunicateur. James règle son blaster sur paralysant et lui grille la cervelle. Frell est attaché à la chaise, grogy. Les secondes s'écoulent, comme des heures, JAmes ouvre un robinet et projette de l'eau sur le visage du lutteur de tatooine. Se dernier reprend ses esprits.Sommaire, Morti lui adresse un

"On se casse, tu prends avec toi l'aqualish et on quitte la base ce soir. "L'autre oppine du chef en signe d'acquiesement. Ada les a déjà rejoins

"J'ai eu l'un des deux sosie et un autre xénos mais je crois qu'on devrais pas trop traîner dans le secteur."

Morti jette un rapide coup d'oeil par la fenêtre les stormtropers sont déjà là, il court vers l'entrée. James glisse entre ses dents :

"On fonce au second, on va emprunter le conduit d'évacuation du bloc sanitaire D 2014 Z. Si toutes les toilettes sont bâtie sur le m^me modèle on devrait pouvoir s'échapper sans trop de difficulté. "

Il fonce vers le bloc toilette, avec ses camarades, dévérouille hâtivement la grille, les trois s'engouffrent dedans, Morti a juste le temps de replacer la grille quand il voit débarquer les hommes e blanc de l'empereur. Il fait signe aux autres de ne plus bouger. L'attente est longue, les soldats déambulent 3 bonnes minutes, puis certains qu'ils ne se passent rien, il rebroussent chemin. L'un d'eux toutefois annonce qu'il faudra récupérer un bloc senseur pour fouiller plus complètement le bâtiment. Morti ouvre le chemin, sort un compact et une boussole et se dirige plein sud, vers la kommandatur. Le chenal s'enfonce s'enfoncent sous terre. Ils arrivent à un T, James empruntent un chemin qu'il connaît. Il sait que son identité est désormais éventé, il va devoir en trouver une autre et vite. La seule alternative qui leurs reste, est de se faire apsser pour des impériaux, derrière un casque blanc, on ne risque rien, enfin moins.

Avant cela, l'aqualisjh remis de ses émotions, reprend ses esprits. JAmes sort une lame et lui colle sous la gorge. Puis a voix basse

"Gueules et t'auras pas l'occasion de revoir une génération de ace de morse. Frell si présent a envie de te briser la colonne vertébrale, moi j'sui assez d'accord, sauf si tu coopères. Bien première question la garnison compte combien d'homme, comment s'appelle le capitaine qui dirige tout ce petit monde et il glande quoi la dedans."

HRJ Ethan j'aurais besoin d'infos, pour exaucer mes trois souhaits

L'aqualish joue les bravaches, Frell, qui est un brave garçon au demeurant, se saisit de ce dernier, lui applique une prise non létale mais très douloureuse. Un filet de mot chuinté sort de la bouche de l'espion.

"environ 200 hommes, le commandant se nomme Tazfer, pour ce qu'ls y font j'en sais rien, je suis juste charger de prévenir les évasions et les mutineries."

Morti le fixe

"T'as déjà eu l'occasion de rentrer dans la base secrète."

L'aqualish répond

"Non, jamais'

Morti : "Alors comment tu sais qu'ils ont 200 dedans ?"

L'aqualish : "Je... je... Le capitaine me l'a dit."

Morti ironique :"Bien sûr i lt' a invité à déguster un homard avec lui."

Il tend le coutelas à Frell.

"Fais ce que tu as à faire, " Frell ne se fait pas prier, c'est vite fais bien fais. Il se tourne vers Ada.

"Ce type savait rien, inutile de perdre plus de temps avec lui. Vous restez là, je vais nous faire sortir, j'ai un plan."

Il se rapproche furtivement de la grille suite au prochain épisode

[HJ : je trouve que tu ne t'en sors pas trop mal ... Lol.
Pour être plus précise, L'ensemble de la base compte environ... 2 500 hommes. Le capitaine qui la dirige n'est pas capitaine, ni commandant, mais général (vu que tu l'a appelé Tazfer, on peut garder ce nom là). Le général est chargé de veiller à la bonne exécution de la construction des destoyers stellaires dont il a la charge. /HJ]

YT-1972 fut sorti de sa torpeur par ses camarades :

Amènes-toi. Y'a du grabuge dans les sous-sols !

YT-1972 se leva précipitemment, rangea la photo sous son armure et laissa son plateau en place. A l'extérieur du mess, son chef de patrouille les attendait :

On nous signale une intrusion de niveau 2 dans les sous-sols de la base. Proximité bloc C. Inspection du secteur requise. Exécution.

YT-1972 et ses collègues se dirigèrent au pas de course vers le secteur indiqué. Les trappes d'accès au sous-sol avaient été ouvertes par une autre équipe. Les clones descendaient un par un la longue échelle qui s'enfonçait dans les entrailles de la base. Une odeur répugnante refluait du fin fond des abysses. Il eut un haut de coeur. Un à un, il descendit les échelons pour, après quelques minutes, poser les pieds sur le sol.
La pénombre était ici la reine. Leur progression était délicate, mais les plans dont ils disposaient leur permettaient de se repérer. Ils avançaient prudemment, l'arme à la main.

Morti déplace la grille d'évacuation des toilettes de la garnison. Il attend patiemment qu'un garde aille uriner, ce qui ne manque pas de se produire et l'assaile par derrière, un mince fils de plomb dans les mains, il glisse derrière lui et d'un coup sec étrangle le bonhomme. Ce dernier pris au dépourvu n'a pas le temps de glisser sa main entre le fil et sa gorge, c'est rapide et et discret. Il bloque la porte, déshabille le garde, enfile sa tenue, hormis le casque, et remonte avec sa proie qu'il a maquillé en Etron 34. Il laisse le corps du stormtrooper au bon soin de frell qui lui réaménage le faciès, et enlève le tatouage du soldat. A l'aide d'un feutre, il marque le code barre de l'impérial sur le bras droit et retient son nouveau matricule. Prenant un peu de sang, il en laisse sur la parois de la grille.

XZ-2360

Puis il redescend, fais signe au autre de le suivre, replace la grille de l'autre côté, et sort des toilettes. Par chance il croise un autre garde. ce dernier en plaisantant :

Alors la pêche a été bonne.

L'humour clône, faut rire, Morti s'efforce d'émettre un gloussement, repère la caméra. Le garde s'oriente vers une des toilettes vacantes. Morti l'intercepte avant.

"Celle là sont défaillante essaye celle de droite."

Ce qui devais arriver, arrive, lui aussi est neutralisé. Un coup de blaster fuse. Morti se rue vers les toilettes, ouvre la porte, arme au poing et blance deux tirs sur Frell interloqué;, ce dernier s'effondre, laissant le temps à Ada de revêtir le prestigieux uniforme de l'empire et d'effacer le numéro de série du stormtrooper, ainsi que son visage en y placant une grenade dans la bouche. Le communicateur grésille

-XZ 2360 que se passe t'il

-deux fuyards qui sont passés par les conduits d'évacuation, menace éradiquée. Terminé, attendons ordre. Stop.

Ils sortent et se mettent en position de tir, la grenade explose rendant méconnaissable le soldat.

-Que se passe t'il grésille le communicateur

-Tentative d'infiltration dans la caserne, procédons à un tir de barrage. Suit des tir de blaster.

Puis comme à l'armée il s'approche de la zone menacée, la grille a sauté sous l'explosion.

-Tentative d'infiltration avortée, deux individus neutralisés définitivement, Attendons ordre. Troisième individu sans doute grièvement blessé, on a quelques traces de sang sur une des grilles, sans doute du à l'explosion de la grenade. (référrence à celui du garde traîné dans le couloir).

Une vingtaine de stormtroopers apparaissent, ils sont dirigés par un lieutenant.

-XZ 2360, XZ 2363 au rapport.

Morti et Ada se raidissent et se mettent au garde à vous règlementaire. Morti prend la parole, il adopte une voix neutre, presque robotisée

-Procédions à une extraction des fluides corporels de types excémentatoires avant de prendre notre tour de garde. Me suis rendu au bloc sanitaire E236, rien de notable, en suis sorti, rencontré XZ 2363, a emprunté le même bloc, des tirs de blasters se sont fait entendre. XZ2360 me suis rendu sur les lieux de l'attaque, et tirer sur le second individu. XZ 2363 était à terre, blessé visiblement. Avons averti le commandement d'une attaque dans la base. Sommes sortis, quand nous avons entendu un bruit de déflagration dans le bloc sanitaire E236, une grenade. Puis sommes mis à couvert et avons attendu de voir si d'autres rebelles tenteraient une attaque, avons communiquer notre situation, puis avons progresser vers le danger, ne voyant rien venir. Etat des lieux à notre arrivée, bloc E236 requérrant d'importantes réparations, grille ouverte, comportant un peu de sang brûlé, rebelles ont sans doute battus en retraite vers les couloirs. Situation à présent sous contrôle. Attendons ordre.


Ada montre des signes de faiblesses. Signe qui ne passe pas inaperçu au lieutenant.

-Bien XZ 2363 vous partez vers l'infirmerie. XZ 2360 vous intégrez la section nous empruntons le passage de ce rebelle.

Il sort un communicateur.

-Commandant Antarès, je dois signaler une grave anomalie dans le secteur YT 84 1SS, conduit d'évacuation donanat accès à la base. Possibilité de présence rebelle dans le secteur, demandons autorisation de poursuivre les opérations.

A l'autre bout

-Autorisation validée Lieutenant Spetz

Vers nous :

-En colonne par un puis par deux à l'intérieur.

XZ 2360 se place au troisième rang et avance dans le conduit. 40 mètres plus loin il trouve Etron 32 et l'aqualish. Le lieutenant passe devant et inspecte les deux corps. Il retourne du bout du pied le Xénos et fais de même avec l'autre bonhomme.

La patrouille des poursuivants ne tardent pas à les rejoindre...

YT-1972 rejoignit bientôt le reste de sa patrouille, qui venait de faire jonction avec une seconde escouade. Il s'approcha de son chef :
"- Inspection achevée. Deux civils tués. Identité inconnue. Rien de plus à signaler."

Son chef demanda aux autres membres de la patrouille de faire leur rapport. Les uns après les autres, ils énumérèrent leur trouvailles. Rien de particulier à ajouter. Mêmes constatations que YT-1972.

Les deux patrouilles firent alors chemin commun vers l'extérieur. Les cadavres furent ramassés. La voie était dégagée. Un à un, les clones gravirent les marches qui les menaient vers la lumière du jour. L'obscurité se faisait peu à peu moins franche, la lumière les réchauffait.

YT-1972 émergea du conduit, l'ai hagard, tel un enfant venant au monde. Il posa pied sur le sol dur de la base. Les autres le rejoignirent. Leur mission de surveillance prenait fin.