Became the special man, then we were Giddy's band

So where were the spiders while the fly tried to break our balls
Just a beer light to guide us
So we bitched about his fans and should we crush his sweet hands ?

Le véhicule, chromé et strié de bandes écarlates pour lui donner une allure sportive, arriva devant ce qui semblait être un squatt bétonné, vraiment massif mais dont aucun bruit ne filtrait. Cette simple constatation suffisait pour comprendre qu'il s'y passait forcément quelque chose.
Une bande de freaks completement défoncés semblaient en proie au doute quand au fait de passer le volet métallique de l'entrée sans préparation concertée.
Le speeder fit le tour du pâté de maison pour accéder à ce qui avait tout l'air d'une "entrée des artistes". L'intérêt des petits groupes underground comme celui dont ils comptaient usurper l'identité étaient la grande méconnaissance de leur existence dans le monde de la musique : ils pouvaient ressembler à n'importe qui, ce qui comptait était l'ambiance produite pour cette bande de junkies flippés à tous les dérivés possibles, coupés, recoupés et mélangés négligement.

Un videur plus proche du gorille que de l'homme bloquait la porte de derrière, ils allaient devoir lui en mettre plein les yeux.

Jol'Ju ? Une idée ?

Jol'ju se concentra. Il faisait chaud, et le soleil agissait désagréablement sur les vagues relents d'alcool et d'urine qui imprégnaient le speeder bigarré.

Le souvenir furtif de Tartomuse s'imposa en ricanant à l'esprit du chasseur de primes : le petit bonhomme aurait pu, non seulement passer, mais aussi persuader le vigile que ce dernier était un yucca.

En s'approchant de l'entrée, le groupe remarqua d'ailleurs que si la bestiole qui bloquait l'entrée tenait plus du gorille que de l'humain, c'était parce qu'elle appartenait à une race extra-terrestre de forme simiesque (et tellement gonflée de muscles qu'on se demandait s'il restait de la place pour les organes internes, le cerveau par exemple). Jol'ju enfila rapidement un des masques métalliques qui traînaient à l'arrière. C'était un peu trop grand. Tant pis.

- Grumppph? mugit le gardien en se dirigeant vers le speeder.
- Ah, salut Grumph, fit Jol'ju, la voix déformée parson couvre-chef. Tu me reconnais? C'est moi, Darth Vader! Ha, ha, ha! Nan, sérieusement, on entre en scène dans trente minutes, coco, et faut encore débarquer le matos, décuver, tout ça. Alors si tu veux bien nous ouvrir la porte...
- Grummph!
- Manager? Quel manager? Ah, le vieux, là? Sûrement en train de faire la bringue dans une cantina. Fais moi penser à le virer quand on aura fini. Ca te dirait qu'on te refile le poste? Je te vois bien en costard.
- Gruumph!
- Quoi, eux? (le jeune homme commençait à suer sous son costume) Bien sûr qu'ils ressemblent pas à la photo, ils ne sont pas en tenue de scène. Bon, allez les mecs, enfilez vos guenilles, pas la peine de faire des bad vibes.

Grumph regarda les chasseurs de primes, compara avec un morceau de poster déchiré tiré de sa poche, les regarda à nouveau puis acquiesça. Soulagé, le groupe s'empressa de sortir les amplis entassés dans le véhicule.

L'entrée des artistes donnait presque directement sur la scène (encore voilée par un grossier rideau marron), côté jardin. Là, une pile de caisses dissimulait les artistes en train de se préparer, faisant offices de loges sommaires. Zamu, visiblement, n'était pas encore arrivé.

Jol'ju sourit :

"Bien, les gars, c'était pas si difficile. (Il jeta un oeil aux instruments) Au fait, quelqu'un sait comment on branche ces trucs?"

Dès fois, Nishruu se demandait si son confrère ne possédait pas un aura de chance à réserve infinie...il s'était attendu à ce que le gorille éclate le crâne de Jol'Ju contre la porte, mais il venait de les laisser passer sans problème pour atterrir dans les coulisses. Là, d'autres groupes encore plus méconnus que le "leur" revenait de leur première partie, affirmant que le public était chauffé à blanc.
Aucun ne semblait se poser de question sur le brutal changement d'apparence de chacun, et les minutes s'écoulaient de plus en plus vite vers leur entrée sur scène...

Dites, c'est pas que je ne partage votre enthousiasme de devoir des stars intergalactique à l'échelle d'un squatt de junkies, mais ça serait bien que Zami arrrive avant que ça commence...ça éviterait de se prendre le bide du siècle.

Tout en parlant, il regardait la quinzaine d'instruments mis à leur disposition (peut être étaient-ce ceux du groupe ?) et se demandait bien lequel révelerait le moins son incapacité musicale.

Un bourdonnement sourd commençait à s'élever de derrière les tentures, témoin des centaines de fans qui criaient, chantaient et frappaient de leurs diverses appendices dans la chaleur écrasante de la fosse.
Et soudain, ils le virent.

Blafard et échevelé, son torse nu sous un maillot noir déchiré, la peau recouverte de plus de piercings que de chair. Zamu, l'idole des jeunes, fit son entrée sur scène sous les hurlements de ses fans.

De ce qu'il pouvait distinguer de derrière les rideaux de fortune, la situation n'était pour Jol'ju pas au super top : des gorilles dans le même style que celui qui gardait l'entrée patrouillaient çà et là, l'oeil vissé sur leur patron. Il devait y en avoir d'autres disséminés dans l'amphithéâtre de pierre, mais dans une telle foire aux monstres, c'était comme chercher du foin de Dantooine dans une meule corellienne.

Zamu leva les bras pour réclamer le silence. Les vivas s'intensifièrent.

"Dévaroniens! hurla-t-il. (ouaaaais, lui répondit-on). Sullustéens! (ouuais...) Wookies! (wuaaaaarrrrmf!) Hutts!!! ... euh,non, pas Hutts. Hey, tout le monde! (ouaaaais!) Bienvenue ici, ce soir, pour le grand Zamu Zik Tour! Bienvenue aussi à nos amis chasseurs de primes, car je sais qu'ils sont nombreux à être venus me voir...

Remous gênés dans l'assistance. Chacun dévisageait son voisin.

"Mais ne vous en faites pas, les copains! repris Zamu. J'ai pris des mesures pour que ces chacals ne vous privent pas de ma musique!"

Jol'ju déglutit, nerveux :

"Ca craint, chuchota-t-il. On n'est pas les seuls sur le coup. J'ai cru voir deux ou trois types de la Guilde. Va falloir l'embarquer rapidement si on veut pas se le faire piquer."

Zamu continuait de discourir, comme si de rien n'était.

"Et maintenant, s'écria-t-il, juste avant d'entamer le premier morceau de mon dernier musikube, je veux vous faire entendre mes petits préférés, ceux qui resteront lorsque tous les autres auront rouillé, les grands, les merveilleux Giddy Rock!!"

Le rideau tomba d'un coup, manquant de peu la tête des chasseurs de primes. Applaudissements nerveux. On se demandait ce qui pouvait être assez bon pour priver le public du meilleur chanteur du système.
La poussière de cristaux qui recouvrait la scène flamboyait sous le feu des projecteurs. Devant, la masse noire du public.
Zamu sourit.
Jamais Jol'ju n'avait eu autant le trac.

"Il sait, se dit-il. Il sait ou du moins il s'en doute. Un mot de lui et on est mort, sans parler des collègues planqués dans la foule."

Le jeune homme s'approcha du micro qu'on lui tendait, hocha la tête et le prit. C'était comme dans un rêve, un rêve particulièrement désagréable avec moins d'alcool et de femmes que d'habitude. Disons, comme un delirium tremens carabiné.
Vu sous cet angle, la situation ne paraissait pas si désespérée. Zamu voulait jouer? Ben tiens, il allait voir!
Et de sa voix rendue rauque par les filtres de son masque, Jol'ju parla.

"Bienvenue, cher public!"

C'était la phrase magique. Rien ne peut mal se passer quand on prononce la phrase magique avant de débiter les pires mensonges. Généralement parce que les gens restent focalisés dessus et oublient de faire attention à ce qui vient après.

Allez, enchaîne!

"Euuh, ça va rocker grave, les amis!"

Zut, ça le fait pas. Arrête de secouer la tête comme ça, Nishruu!

"Hum, hum. Alors euh, merci à tous d'être là. Déjà, j'voudrais rectifier un truc. Zamu, il dit que les chasseurs de primes sont de gros Bantha puants. C'est vrai. C'est vrai aussi qu'ils s'taillent un costard sur le dos des honnêtes contrebandiers. Mais, MAIS! Avant tout, c'est aussi des mecs pour qui la vie, c'est la mort, c'est l'argent, c'est des ombres plus grandes que leurs âmes et des flingues chargés en permanence. Et pas avec des rayons de mort. Non, ces sales bouses, c'qu'ils ont dans la poche, c'est des balles avec des ailes de papillon, plus chaudes que l'enfer, yeah! Je veux dire, ils vivent rock'n'roll, quoi! Et c'est à eux que je dédie cette chanson inédite, qui s'appelle, qui s'appelle... (eeh les gars, comment elle s'appelle notre chanson, déjà?)

Nishruu, qui avait été légèrement pris de cours par l'arrivée impromptue sur scène, regardait avec consternation Jol'Ju débiter son discours d'entrée en scène complètement foireux...au moment où ce dernier lui demanda le nom de la chanson qu'ils comptaient interpétrer, il bredouilla quelques mots puis, pris d'une vague de ras le bol combinée à un désir intense de cribler de laser Zamu, il beugla dans le micro devant lui :

Old and Wise Northern Sergent Zamu's Lonely Lemons from Mars !

[HJ] Dsl pour le ptit message mais jsuis pas très en forme pour poster là, jferais mieux la prochaine fois v_v [/HJ]

Zamu avait légèrement pâli, Jol'ju l'aurait parié.

Devant eux, le public était en liesse... de toute façon, la plupart d'entre eux n'agissait plus que par automatismes hérités de dizaines d'années de concerts aux relents d'herbes importées du fin fond de la Galaxie (ce qui, du point de vue de Tatooine, n'était pas si loin que ça).

Le jeune homme saisit un instrument métallique abandonné par le groupe précédent, gratta quelques cordes et réussit à en sortir quelque chose que les amplis et les ordinateurs intégrés arrivaient à rendre pas trop horrible.

Il avait un peu pratiqué dans sa prime jeunesse. Après tout, les plus grands morceaux ne sont que des variations sur trois notes, et les airs de légende, eux, des trucs qui ont cassé les oreilles des premiers qui l'ont entendu. Sur certaines planètes, on ne faisait que chanter en tapant des pieds sur le sol. A partir de ce constat, faire de la musique, ça devenait simple comme... eh bien, faire de la musique, justement.

Jol'ju approcha le micro de ses lèvres et débuta, a capella :

"Laisse moi t'offrir cet air
Avant de te faire goûter d'mon blaster
Une histoire d'amour un peu diabolique
Encore plus fort qu'une transe éthylique!"

Doing! Zbong!

Les lumières dansèrent , inondant la scène d'un flot arc-en-ciel, et soudain Jol'ju sut qu'il avait toujours voulu faire ça.

"Allez-y, balancez la sauce!"




(HJ : et un bonbon à qui trouve la référence :p)

[HJ] J'ai eu beau chercher, j'ai pas trouvé ^^" [HJ]

Après l'introduction à cappella de Jol'Ju, la musique éclata comme un coup de tonnerre, embrasant la salle grâce aux amplificateurs. Nishruu n'en revenait pas...il avait saisi une sorte de guitare à deux caisses de résonances, testé très discrètement quelques accords et soudain des sons assourdissant avait resonnés dans les amplis. Réfléchissant à toute vitesse, il finit par se rendre compte que les appareils étaient réglés de telle manière que plus son jeu était faible, plus le son sortant était fort ! Quelle idée stupide, pensa t'il.

Tout en continuant d'enchainer des accords miteux à toute vitesse, il agrippa un autre instrument, un tube criblé de trous remplis de petits tubes cristallins qui, par un système de retour de force, servait de boutons poussoirs. Plus inspiré par cet instrument, il lacha le premier et entama une série de doigtés compliqués...Ce fut comme une secousse sismique dans une grotte de cristal, des sons flutés se soignant à des crissements, accompagnés de petits bruits d'oiseaux et de miaulements.

La foule était en délire...grisé, il prit la suite de l'intro vocale de Jol'ju :

If there's something strange
In the neighborhood
Well who ya gonna call?
Bounty Hunters

If there's something weird
And it don't look good
Well man who can ya call
Bounty Hunters

I ain't afraid of no xenos
I ain't afraid of no xenos

La foule était paradoxalement attiré par ces paroles osées, mais on sentait bien que Zamu commencait à trouver la plaisanterie un peu fade...

Jinko s'était quant à lui emparé d'un long tube noir couvert de demi-sphères argentées qui semblait un compromis entre la guitare et la batterie.
Rampant sur le dos tout en serrant l'instrument contre lui, il entama un solo de toute beauté tandis que ses mots suivaient les notes comme les nauteels suivent les voiliers sur Mon Calamari.

La traque, c'est not' boulot!
Et la sueur, not' salaire!
Ce qu'on gagne c'est la misère
Qui nous sépare des héros.

Jol'ju bondit et courut le long de la scène pour taper dans les mains des fans qui y étaient agglutinés.

Les grandes fusées rugissent
Et rayent le ciel étoilé
Sur nos corps balafrés
Se reflètent leurs cicatrices

A cet instant, Jinko se redressa pour fracasser son instrument contre une enceinte holographique spécialement prévue pour ce genre d'effet de scène. Le morceau se fit instrumental pendant une minute, puis la mélodie revint à sa progression de départ. Jol'ju reprit le micro, tournant autour de Zamu avec un invisible sourire de prédateur.

Chasseurs de rêves, chasseurs de temps
On cautérisera le fil d'argent
Qui pour une poignée de crédits
Ne pouvait plus retenir ta vie...

Les percussions se turent pendant un moment calme où les trois musiciens autodidactes se retrouvèrent au centre d'un grand halo de lumière, en triangle autour de leur proie, chacun penché vers le public. Leurs voix s'élevèrent à l'unisson :

On est des salauds mais on s'respecte
La loi c'est pas fait pour les boeufs
P'têt' même qu'on t'regardera dans les yeux...
En appuyant sur la gâchette.

Dernier riff, les notes planèrent dans la salle enfumée, retombèrent, se brisèrent comme des éclats de verre. Aussitôt, la lumière s'éteignit.
Les pupilles de Jol'ju se dilatèrent.
Ils avaient dix secondes avant que tout se rallume. Il fallait agir vite.

Lorsque la lumière revint, la scène était vide.

Le public, surexcité, rappelait ses idoles à grands cris, tandis que les molosses de Zamu tentaient en vain de se frayer un chemin dans la masse grouillante de la salle.

Mais les chasseurs de prime étaient déjà loin, escortant leur cible sur la tête de laquelle ils avaient placé un de leurs masques à l'envers. Zamu était, de fait, trop occupé à essayer de respirer pour tenter de s'enfuir. L'eût-il essayé, sa constitution proche d'un paquet d'allumettes ne l'aurait pas portée bien loin.

A présent, il ne restait plus qu'à trouver de quoi s'enfuir rapidement... ce qui n'allait pas forcément être une mince affaire.

Les gorilles (oui on sait : "de vrais gorilles ?") sillonaient la foule pour retrouver leur patron, qui brillait actuellement par son inexistence sur la scène. Pendant ce temps, le trio se déplacait à une allure variant entre le "CASSSSOOOSSS, on se taille" et le "soyons discrets, un homme qui court est un homme louche, donc un homme mort". Ils se dirigeait donc vers la sortie qui leur avait servi d'entrée, si vous voyez ce que veux dire, et s'apprêtait à faire un superbe sourire de victoire quand la porte laissa place à une cinquantaine de fans déchainés apparemment hallucinés par leur interprétation.

Alors qu'ils signaient aussi vite que possible les calpins, flyers, photos et morceau de chair (parfois quelques peu inattendus...), on entendait de grands remous dans le bâtiment. Apparement, le subterfuge avait été de courte durée..

Jol'ju pointa alors du doigt la direction des remous :

"Ooh, les mecs, regardez! C'est les Modal Nodes!"

En espérant faire diversion.

Malheuresement le commentaire de Jol'ju se perdit dans la masse de bruit entourant les chasseurs de primes, qui étaient véritablement prit dans une frénésie de groupis, allant du plus défoncé des Junkies à la fille à moitié nu (ou totalement), en passant par le type paumé venant d'etre traumatisé, écrasé sous le pied d'un Wookie qui profitait de ses muscles pour approcher le trio.

Jinko, qui sur scène s'était laissé emporté par l'euphorie de trituré un instrument, se sentait désormais assez mal à l'aise aux milieu de la foule, surtout quand une main caressa soudainement son entre-jambe.

Il se pencha à l'oreille de Nishruu et lui chuchota :

-Si on sort pas de ce merdier rapidement, je sors mon blaster et je les désoude tous facon Goldorak !

Nishruu, voyant que la situation allait dégénérer, décida de calmer le jeu...en sortant son blaster du holster pour arroser la foule en délire. Un à un, ils tombaient comme des mouches...sous les rayons hautement paralysant du chasseur de primes.

Paradoxalement, cela semblait exacerber le fanatisme des groupies restantes, allant jusqu'à se lancer totalement nues dans les bras des trois acolytes (qui tentaient de rester de marbre tant bien que mal). Derrière eux, les gros bras du service de sécurité rappliquaient avec des matraques de la taille d'un bras...une poursuite effrenée se lanca jusqu'au speeder. Malheureusement, les jambes surmusclées de leurs poursuivants leur faisaiet gagner de plus en plus de terrain...et leurs combinaisons les immunisaient aux tirs paralysants.

Dites, ça vous dérange si on j'en dessoude quelques uns ?

Jol'ju décocha une mandale dans le museau d'un fan qui tentait de lui arracher son poncho porte-bonheur. Si c'était ça, la célébrité...

Quelque part entre les hurlements, il distingua la voix de Nishruu qui proposait de tirer dans le tas. Enfin une tactique digne de ce nom, songea le jeune homme.

"Vas-y! cria-t-il. Je crois qu'il n'y a plus que ça à faire."

Tirant toujours à faible charge, les chasseurs de primes se frayèrent un chemin à travers la cochue qui les séparait des speeders. Ils en prirent un au hasard, délogeant les junkies qui s'y accrochaient comme des psychomoules à leur rocher, se servant parfois de Zamu comme bélier.

Enfin, ils jaillirent dans la nuit glaciale du désert, laissant derrière eux un Pandémonium grouillant et criant.

Avant l'aube, les pillards auraient fait le ménage dans le coin, du moins Jol'ju l'espérait-il...


[HJ]To > Astroport[/HJ]

EDIT [HJ] Après tout ce temps tu te décides à poster, juste quand moi je décide de poster pour débloquer xD...rdv dans l'astroport alors ! [/HJ]

[HJ] Nous sommes trop forts. Au fait, j'ai *aussi* posté un article, dans le dossier homonyme [/HJ]