[bâtiment] l'usine de jouet GenTechMarmot

James et le Mortyfly après s'être acquitté des droits de douane
exorbitant, décide d'en savoir u npeu plus long sur le contrat qui
l'intérèsse. Il se rend donc au sein de la compagny ayant lancé le
contrat. Un quartier de rupin pour sûr. Il amène avec lui Ada.

Avant se se précipiter chez le client, James et Ada s'engouffrent dans un
troquet, vendant une sorte de liquide noirâtre qui n'est pas sans lui
rappeler quelques mauvais souvenirs digestif. Il se rabat donc sur un
bencolait. La boisson des champions commente mi figue mi raisin Ada.
James préfèrre passé outre, mais la blonde volcanique prend cela comme
une permission tacite de poursuivre sur sa lancée.

"Avec un peu de chance, ils te fileront une peluche et t'en fera ton
doudou... t'as qu'à demander à être payé en ours en peluche... Ca nous
changera des contrats miteux qu'on est obligé de faire pour survivre. Je dirigerai le groupe, ça se passerai autrement."

James
de fort mauvaises humeurs se redresse, fait craquer son bassin, avant
de se pencher vers Ada. D'une voix faussement doucâtre :

"Quand tu auras finis de branler ton ratelier Ada, on pourras peut être s'y mettre."

Il
fait un rapide tour visuel de la salle, et remarque (18 que jet de dé
de Perception et 12 pour illégalité) quelques uns de ces condisciples.
A voix basse vers Ada

"On est pas seul sur le coup tu vois là bas, le type avec ses dents de
Morse, c'est Bo Ku San Fese, pas un novice dans le métier... Je te
l'apprend peut être. Il a l'air de s'être constitué une belle petite équipe de mercenaires "

L'aqualish adresse un discret signe de la main à James et Ada. James commente le geste avec un rictus désabusé

"On
sait au moins qu'on est pas seul sur ce coup, en repérage lui aussi, il
se fait une idée de la concurrence. Traînons pas dans le coin."

Il règle l'addition et se rend au Siège Social de GenTechMarmot...

[J'invite les joueurs n'ayant pas d'aventure à intégrer celle-ci, s'il(s) le veule(nt)]

Le Siège social de la dites multigalactique entreprise du jeu pour
enfant, est une tour de plusieurs kilomètres de haut. Elle tient grace
à des champs gravitanionnels externes, lesquels soutiennent aussi
l'imposant panneau publicitaire portant le logo de la marque : un clown
à six pieds répétant en boucle, un peu comme notre père noël des Hi ha
ho ha hi ho hi ho ha lanscinants et assez dangereux au final pour la
santé mentale de qui resterai un peu trop longtemps à le regarder. Le
clown en lui même a quelques choses de malsain, un mix entre Monsieur
Mac Donald et Ca, le clown maléfique de Stephan King. James jetta un
regard morne au panneau publicitaire en train de se bidonner tout seul
à 4 km au dessus de sa tronche. Il se décida à hâter le pas et pénétra
avec une Ada feulant son déplaisir de servir sous les ordres d'un tel
incompétent.

L'accueil, trois jeunes et affriolantes hôtesses servaient
d'interprêtes, guides touristiques et animatrices pour les
bambins braillards venant s'extasier sur les robots du futur, les mini
droïds de course, etc. etc. Il ya avait même une peluche avec un
collier émetteur. Ce dernier semblait malheureux... Sans doute les
nouveaux concept de jeux, les fabriquants avaient enfin compris qu'il
fallait inculquer au plus tôt les dures réalités de la vie à leurs
gniards balbutiants et geignards. Le jouet se mit à danser sous l'action
frénétique des petits doigts potelés d'un des gamins, qui
s'acharnaient de plus belle sur une télécommande à infra son, poussant
des cris de rage, qui pourrait aussi s'apparenter à des cris de
satisfaction. La peluche semblait souffrir le martyre. James se
remémora son propre passé, pas e jouet, son père lui fila son premier
blaster à six ans avec ordre de s'en servir sur tout les animaux du
quartier, pour améliorer ses réflexes. Il devait lui rapportait le
butin de ses chasses, au moins un par jour, s'il ne voulait pas être
battu... Enfin son paternel appelait ça formation lutte, lui sévice
corporel paternel. Il en avait pas retenu grand chose, sauf peut
être à encaisser sans trop brailler.

L'une des hôtesses en réponse à la question d'Ada qui voyant son chef,
le regard vague et perdu dans quelques nébuleuses et profondes pensées
pris l'initiative.

"75ème étage, bureau 58743269871, ok. Monsieur Transpir... c'est
lui qui est en charge du dossier. James t uviens on n'a pas que ça à
faire."

Elle se dirige vers l'ascensseur, le jouet pelucheux tombe, le gamin
hurle. Les hôtesses regardent le géniteur de l'enfant l'une d'elle
s'exclame "Ah ! C'est malin il est mort, faudra le payer." S'ensuit un
argumentaire de vente sur la fragilité des jouets pas conçus pour des
enfants de 6 ans. James et Ada se retrouve sur le perron d'un vaste
couloir, pleins de portes et de numéros. Après une demi heure de
recherche ils finissent par trouver le bureau en question le
58743269871...

Monsieur Transpir, nous reçois, sa secrétaire rougissante encore toute
décoiffée par son travail de harcelée sexuelle (je sais je donne dans
le cliché).Sourire de requin, regard de prélat vicelard. Il nous invite
à nous assoir. Au passage il détaille les formes généreuses d'Ada, laquelle
lui jette à son tour un regard très explicite, suivi d'un grognement
sourd s'il s'avise de mettre en application les pensées lubriques lui
trottant derrière la tête. Le bonhomme se ravise et poursuit d'une voix
rendue aigrelette par la contrariété.

"Vous êtes ici pour le contrat sur la marque de jouet : ewiik. Bien, je
suppose que vous êtes au courant des termes du contrat, nous rajoutons
à celui-ci que l'élimination des pirates représente la moitié de la
somme, le reste, les 50% suivant vous seront versé, à la livraison des
Ewoks."

Devant le regard d'incompréhension de James

"Un Ewok est un xénomorphe... un humanoïde bipède petit et plein de poil
qui passe son temps à baiser dans sa cahute, avec une autre peluche. Ce
sont pour nous des jouets biologiques en accord avec le principe 368 sur
la définition de civilisation impériale qui donne droit d'exploiter des
écosystèmes moins développés, c'est à dire, des systèmes ou le
degrès de développement avoisine l'âge de pierre. Ce qui est le cas.
Ces primitifs n'ayant pas conscience d'eux mêmes, comment pourrait-il
s'estimer libre. Bon arrêtons la la philosophie, ça m'ennui et
visiblement vous n'avez pas l'air de comprendre grand chose à tous ces
grands principes qui fondent notre bel Empire galactique..."

Il se tourne vers la caméra, la main sur le coeur

"Loué soit notre génial Empereur."

Se retourne,

"Bon je ne vous cache pas que vous n'êtes pas seul sur le coup, d'autres mercenaires de tout poil sont déjà venu me trouver."

Son faciès retrouve son expression favorité, un mélange savamment dosé de malsain et de dégradé dégradant.

"La compétition va être rude, mais je ne doute pas que notre entreprise n'y trouve pas son compte."

Il reçoit un appel sur l'interphone, les standardistes d'en bas
l'avertissant qu'un autre spadassin sans foi ni loi venait s'enquérrir
des modalités de paiement après livraison et extermination ou vice
versa. Transpir congédie Ada et James sans même un regards, d'un geste
négligé de la main. Ada est prête à lui sauter à la gorge, ce qu'elle
fais. Morty a juste le temps de la réceptionner avant que le couteau de
Miss Promp ne se fiche dans la gorge du brillant commercial.

Les deux chasseurs de prime quittent le siège de la multigalactique
du jouet. Le chapeau melon à coque métallique renforcée visée sur le
crâne, ils croisent l'aqualish et sa bande. Regards éloquent des deux
principaux intéréssés et coutumes d'intimidation en usage chez ce grand
singe qu'est l'homme.

"Abandonne l'idée d'empocher la prime Mortimer, ta môman serait pas contente de retrouver son chérubin en pièce."

James sans se départir de son sourire aussi avenant que celui de la Grande Faucheuse elle même

"C'est ce qu'on verra tronche de Suschi... reste pas trop loin de ton
bocal tu pourrais donner des envies à un restaurateur en goguette."

L'Aqualish persiste

"A plus tard Macaque, je t'aurais averti."

James conclue, sortant son blaster et le réglant sur tir mortel, le gros rouge qui tache, pas le bleu qui paralyse

"C'est ça, c'est ça... Il me tarde d'avoir de tes nouvelles, le morse."

Durant tout l'entretient, Ada et les hommes de main de l'aqualish
regarde cet échange peu amène des yeux ronds d'étonnements. James et
l'aqualish en guise d'aurevoir se percute violemment, chacun d'eux
émettant un grognement distinctif, signifiant même pô mal. Ada regarde
son patron incrédule.

"James comment tu fais pour toujours te trouver de nouveaux ennemis si
facilement, je, je suis admirative. Je n'y suis jamais arrivée aussi
rapidement."

Exténué par cet échange verbal, Morty la fixe, d'u noeil justement de Suschi mort

"Ben, j'ai pas tes connaissances Ada, faut dire que quand je t'ai
récoltée , j'avais pas encore un prospectus collé sur ma tronche sur
Tatooine. C'est ma capacité à moi, récolter les emmerdes en aidant les
pénibles... alors voilà ce qu'on va faire, comme t'es une fille malgré
les apparences, et que je n'aime pas taper une fille, toi exceptée. On
va jouer ça aux cartes, une petite partie de carte, tu gagnes... Tu
commandes, je gagnes tu l'as ferme pour deux semaines. La mise sera nos
fringues, une sortes de strip poker."

Ada le regarde, crânement

"Ok face de cadavre, JE GAGNERAI, et tu m'obéiras."

Morti se contente de sourire et pusse la porte d'un troquet,
l'invitant à s'assoir en face de lui. I ldemande au patron un jeu
de carte et deux boissons fortes. Il bat les cartes devant elle... La
partie commence. James ayant 6 dés en jeu et Ada 2 voire 3. La
belle chasseuse de prime se fait éplucher soigneusement, perdant son
ceinuron, sa veste de protection, poussant entre temps quelques
saillies à son interlocuteur principal. Puis vient le tour de sa veste,
son pantalon. Les badauds s'amassent plus nombreux autour de la table.
Ada s'énerve de plus en plus, jette un regard courroucé à James qui lui
sussure d'abandonner, connaissant le caractère de la chasseuse de
prime, i lsait qu'elle ira jusqu'à sa petite culotte... Et il ne se
trompe pas. Totalement nue après une heure de jeu, i lcommente placide.

"J'ai toujours eu de la chance aux cartes, ce qui n'es pas ton
cas... Donc tu dois la fermer, interressant ! La vue d'ici n'est pas
mal."

Ada de plus en plus rouge, les mâteurs sont désormais légion, elle
est prête àfondre en larme, le tas de vêtement posé à côté de
James. Elle se lève rageusement, fais valdinguer la chaise et se dirige
vers la sortie d'un pas décidé. James l'attrape par le bras.

"Ok Promp, j'airais pas dû cette dernière saillie."

Il lui rend ses vêtements

"Reste, j'ai... J'ai besoin de toi."

Le visage de la jeune femme s'illumine, c'est la première fois que
James Mortimer, reconnais avoir besoin d'elle. Elle exulte
intérieurement, à cet instant elle ne voit plus en lui, le sale
phallocrate taciturne et peu communicant. Elle laisse ses vêtements au
sol

"Bien James Mortimer, je vais vous aider, après... Après je m'en irai à moins que tu n'es mieux à me proposer. "